Larmes de crocodile
Paula Huarte
Du 12 Juillet 2024
Au 15 Septembre 2024

Il s'agit d'une proposition qui permet une rencontre intime-collective entre l'artiste et le spectateur, dans le but de créer un nombre infini de possibilités d'interprétation à partir de ce qui a été créé. Intime, en termes de rencontres particulières entre l'œuvre/l'environnement/l'observateur, et collective, en faisant allusion au patrimoine populaire, en le reliant à des dictons, comme celui qui donne son titre à cette œuvre. Il cherche également à brouiller l'équation réalité/imagination, ce qui permet d'aborder la rupture transitoire de cette dualité si profondément ancrée dans la pensée quotidienne de l'âge adulte.
Les agents qui donnent un sens à cette rencontre émergent de l'imagination (en comprenant la fiction comme un outil mimétique) pour transformer ou altérer la réalité, en communiquant, en analysant ou simplement en racontant une idée ou une pensée et en générant ainsi des espaces de contemplation dans lesquels les souvenirs ou les réflexions du spectateur peuvent être activés.
- Extrait du texte de June Irazum pour l'exposition Lágrimas de Cocodrilo (Larmes de crocodile)

Montehermoso Kulturunea | Fray Zacarías Martínez kalea, 2 - Gasteiz (Araba)
Détails
Du mardi au samedi: 11:00 - 14:00 / 17:00 - 20:00
DImanche et fériés: 11:00 - 14:00