La troisième exposition de Gabriela Kraviez dans notre structure, qu'elle soit de papier ou immobilière, était "y porque el amor... necesita más geometría de lo que pensamos" (et parce que l'amour... a besoin de plus de géométrie que nous ne le pensons).

Je récupère ce fragment de la feuille de salle: "Toutes ces œuvres se présentent comme des structures géométriques organisées sur la base de répétitions et de variations. Elles sont toutes marquées par le souvenir d'un tissu (...).

Utiliser le tissu comme modèle de structures abstraites à dessiner et à peindre. Tissu politique, géographique, culturel et esthétique. Le tissu comme origine du texte et de l'architecture. Le tissu comme allusion au corps et aux stéréotypes de genre.


Ce modèle génère un travail obsessionnel, basé sur la répétition, soulignant le rythme d'un temps cyclique et la possibilité de reproduction illimitée des différences, envahissant l'espace, changeant d'échelle et créant ainsi d'autres espaces, virtuels, mentaux, imaginaires, musicaux, sensuels."