Autoportrait de l'artiste femme-arbre, l'installation invoque l'archétype le plus universel: Amalurra, unité originelle de tout ce qui est réel.

Mère nourricière et utérus de la forêt, elle prend la forme d'un arbre mythologique qui s'adapte à chaque espace d'exposition pour donner de nouveaux fruits.

"Après avoir quitté la lumière de la Méditerranée c'est dans la forêt d'Irati qu'est né le projet 'Mari, les Laminak et les empreintes de la forêt', comme une tentative de connexion entre la société et la nature à travers la mythologie. L'arbre a besoin de collaborer, d'approfondir ses racines, pour créer un écosystème."

L'alchimie visuelle de Jaio Lertxundi a permis de photographier Mari et les Laminak à Irati ou encore de donner une voix aux Bardeak, le désert de Navarre.

Amaia est le commencement.